c'est quand je vois les herbes qui poussent n'importe comment et les arbres qui tombent que je ressents le vide ... c'est là bas que je me dis vraiment que c'est vrai ... c'est là bas que je peux compter le temps depuis toi ... que je peux dire avant et après ... un an .. une toute petite année que tu es en quelque sorte là collée à la tombe de ton fils ... l'image ne m'avait pas frappée jusqu'à aujourd'hui .. quand je me suis arretée devant les portes du cimetière sans pouvoir y rentrer .. quand j'ai vu mon cousin aller vers ce qu'il reste de son père et de sa grand-mère c'est là que je me suis dis que ce que lui devait ressentir était différent de moi ...
Dimanche 26 août 2012 à 22:05
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